L’ANDRH s’intéresse aux sujets d’actualité : égalité femmes hommes, sexisme, télétravail

Publié le 14/09/2020

Le groupe local réunionnais de l’Association nationale des DRH (ANDRH) a tenu son assemblée générale le 27 août en fin d’après-midi.

Une vingtaine de membres, sur la quarantaine que compte le groupe, se sont réunis dans une salle mise à disposition par l’hôtel Bellepierre à Saint-Denis. En tout, il y aurait quelque 140 directeurs ou responsables des ressources humaines à La Réunion, selon Aïcha Boukir, la présidente du groupe, laquelle a été réélue à l’unanimité à ce poste au cours d’une AG qui s’est déroulée sans accrocs. Un nouveau bureau a été élu pour la période 2020/2022.

 

Au niveau national, l’ANDRH compte plus de 5 000 membres. En 2020, le groupe local a organisé plusieurs événements et réunions, portant sur des thèmes comme l’intelligence émotionnelle, l’égalité femmes hommes... Audrey Bonato, responsable Juridique et Social au Medef ( également administratrice de l’Aract Réunion), a eu l’occasion au cours de l’année de présenter un sujet sur le sexisme ordinaire. Des adhérents ont aussi participé à une sortie bateau haute en couleur !

 

Pascal Hamel honoré.

Fabrice Hanni a exposé un bilan financier de très bonne tenue, grâce à une « gestion en bon père de famille » de l’ex DRH de la Cilam, Pascal Hamel, un éminent membre du groupe réunionnais de l’ANDRH, dont il fut président. Non candidat à une place dans le bureau, ce dernier s’est vu remettre un cadeau. Les membres lui ont rendu hommage, ils comptent sur lui à l’avenir.

 

L’Aract Réunion a été conviée à suivre l’AG puis à animer la partie consécutive aux points statutaires. Sa directrice Corinne Dubois a décrit les missions de l’Aract et de l’Anact. Elle a invité les DRH à prendre connaissance des nombreux outils et prestations du réseau, que ce soit Objectif Reprise (OR) ou d’autres, comme la PCRH (prestation conseils en ressources humaines) ou le Fact spécial covid-19 (fonds d’amélioration des conditions de travail). « En ce moment les accompagnements sont gratuits dans le cadre d’Objectif Reprise. Ce serait dommage de ne pas en profiter », a-t-elle souligné.

 

Des jeux pour les entreprises.

Après un exposé sur le télétravail, les chargés de mission Aract Réunion Anne Cazenove et Thomas Jacquot, référents OR respectivement pour La Réunion et Mayotte, ont animé « le jeu de l’avocat », au cours duquel deux groupes ont été constitués : l’un devait chercher des arguments favorables au télétravail, l’autre des arguments opposés. Les échanges entre les groupes ont illustré la complexité de cette question qui a pris une toute autre ampleur depuis le confinement liée à l’épidémie de Covid-19.

 

Puis, tandis que Thomas Jacquot a animé un débat portant sur le télétravail (comment définir une bonne journée de télétravail ?), Anne Cazanove a fait découvrir aux DRH le jeu Anact Les Essentiels télétravail un support pour lancer ou redynamiser les projets télétravail dans les entreprises. C’est un des nombreux serious games édités par l’Anact pour mettre en œuvre de façon ludique les méthodes d’amélioration des conditions de travail.

 

A l’AG a succédé un cocktail dinatoire.

 

Le nouveau bureau

Aïcha Boukir (Alefpa), Fabrice Hanni (président d’Aqualo), Sandrine Bienne (RRH de la Semac), Fabienne Bonnet, Chloé Mazue (RRH de Vivo Energy), Bertrand Boudier (RRH de Spring), Fleur Matrias (DRH du groupe Macé).

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